L'inventaire après décès de « Madame Pierre Benevault » (1740-part II)
[suite de l'inventaire de feue Madame Benevault]
Signature de Pierre Benevault
Du dit jour vendredy vingtième du mois de may audit an mil sept cent quarante et sur les huit heures du matin, en conséquence de l’assignation prose à l’heure présente, il a été aux mesmes raisons que dessus procédé à la continuation du présent inventaire ainsy qu’il suit,
Item une montre d’or dans sa boite de mesme, faitte à Londres par Viel, garnie de son cordon de soye et clef de cuivre, prisée cent livres cy………………..C#
Item une canne de gilet à pomme d’or fuzellée, garnie de ses yeux aussy d’or, cordon de soye noire, prisée la somme de vingt quatre livres cy………………..XXIII#
Item une petite épée à poignée d’argent doré, prisée trente six livres cy………………..XXXVI#
Item un petit couteau à manche d’agatte garny de cuivre, prisé six livres cy……………..VI#
Item s’est trouvé en deniers et livres ayans cours, la somme de cent vingt livres……………..CXX#
En suivent les portraits tant ébauchés que finis, prisés et estimés à juste valeur et sans crüe par ledit maître Cuisin, de l’avis et conseils de sieur Pierre Testard, peintre demeurant à Paris, rue Neuve des petits Champs, paroisse Saint Eustache et le sieur André Tremblin, aussy peintre, demeurant sous le quay de Gesvres, paroisse Saint Jacques de la Boucherie, à ce présents [rajout : et parties nommés et convenu par lesdits sieur Benevault et Moyreau] qui ont promis donner leur avis en leur âme et conscience au cours du temps présent, aux sommes et deniers et ainsy qu’il suit et ont signé,
A. Tramblin Testard
Premièrement un tableau peint sur toille représentant un Ecce homo fait par ledit sieur Benevault dans sa bordure de bois sculpté, doré, prisé soixante livres cy………………..VX#
Item un petit tableau, copie d’après Carle Marat, représentant une fuitte en Egypte dans sa bordure de bois sculpté, doré, prisé vingt cinq livres cy………………..XXV#
Item un grand tableau peint sur toille représentant une déesse dans sa bordure de bois sculpté doré, prisé comme copie trente livres cy………………..XXX#
Item un petit tableau peint sur bois représentant teste de lion fait par fenestre, prisé comme original trois livres cy………………..III#
Item un autre tableau peint sur toille représentant portrait du cardinal de Rohan sans bordure, prisé comme copie soixante dix livres cy…………………..LXX#
Item un tableau de tapisserie de petit point à l’aiguille de Gobelins représentant un pot de fleurs dans sa bordure de bois sculpté doré prisé la somme de dix huit livres cy………………..XVIII#
Item quatre tableaux peints sur toille représentant portrait de la famille de Monsieur le Prince de Pons en partie et autres faits par ledit sieur Benevault, prisés en tout cent quarante livres cy………………..CXL#
Item deux autres tableaux aussy peints sur toille représentant portrait commencés et sans bordures faits par ledit sieur Benevault, prisés soixante livres cy………………..LX#
Item un autre tableau aussy peint sur toille représentant Madame de Galle, fait par ledit sieur Benevault, prisé cent vingt livres cy………………..CXX#
Item deux autres copies de tableaux représentant la Princesse Geyeménée, sans bordure, prisé quinze livres cy………………..XV#
Item un autre petit tableau peint sur toille représentant le portrait de M. Duvaussel, prisé vingt livres cy………………..XX#
Item deux grandes toilles de six pieds de haut, apprêtées pour la peinture, prisées huit livres cy………………..VIII#
Item un tableau représentant le portrait de M. Dupré avec un livre de musique, prisé trente livres cy………………..XXX#
Item six tableaux représentant portraits de différentes personnes aretés, prisés soixante livres cy………………..LX#
Item neuf autres tableaux représentant portraits ébauchés, prisés trente livres cy………………..XXX#
Item neuf toilles de diférentes grandeurs prisées dix livres cy………………..X#
Item deux dessus de portes commencés, prisée vingt quatre livres cy………………..XXIV#
Item deux toilles de fausse mesure, ébauchées, prisées vingt livres cy………………..XX#
Item un grand portrait de seize pieds de haut, ébauché, prisé la somme de vingt cinq livres cy………………..XXV#
Item quatorze petites esquisses et tableau d’animaux prisé le tout trente livres cy………………..XXX#
Item cinq dessus de porte représentant différents sujets prisés vingt cinq livres cy………………..XXV#
Item une ébauche du cardinal de Rohan prisée quinze livres cy………………..XV#
Item deux petits tableaux représentant païsage dont un sans chassis, prisés six livres………………..VI#
Item deux païsages qui sont originaux de Bartholomée, prisés soixante livres cy………………..LX#
Item deux petits tableaux représentant un rochet et païsage dans leur bordure de bois doré prisés huit livres cy………………..VIII#
Item deux autres tableaux représentant Alexandre au milieu de ses soldats et l’autre représentant le dieu Pan, prisés six livres cy………………………..VI#
Item quatre tableaux sans bordure, représentant païsage et deux autres ébauchés, prisés quinze livres cy………………………..XV#
Item onze tableaux de différentes grandeurs, représentant différents sujets communs, prisés douze livres cy………………………..XII#
Item neuf autres tableaux aussy de différentes grandeurs représentant des sujets communs, prisés dix huit livres cy………………………..XVIII#
Item un tableau représentant portrait de Madame la Duchesse avec Mademoiselle, prisé comme copie vingt livres cy………………………..XX#
Item un grand tableau sans bordure représentant Monsieur de Luzignan en habillement de guerre, prisé soixante livres cy………………………..LX#
Item deux grands tableaux de six pieds de haut sans bordure représentant Monsieur Renault en chasseur et madame son épouse en Vénus, prisés la somme de quatre cent livres cy………………………..IIIC#
Déclaré le sieur Benevault qu’il a reçu du sieur dudit sieur Renault acompte dudit portrait la somme de deux cent quatre vingt huit livres et a signé,
Benevault
Item un grand portefeuille de cent estampes tant grandes que petites, de différentes auteurs d’Italie, prisé quatre vingt seize livres cy………………..IIIXX XVI#
L'oeuvre de Wouvermans par Jean Moyreau
Item quarante estampes de l’œuvre de Vouvermans et autres, gravées par ledit sieur Moyreau, prisées quarante livres cy………………..XL#
Item une caisse remplie d’environ cinq cent estampes tant grandes que petites de toutes sortes d’auteurs et représentant toutes sortes de sujets, prisées comme la partie commune la somme de cent livres cy………………..C#
Et ont lesdits sieurs Testard et Tramblin, presté en cet endroit leur avis et ledit maître Cuissin la fin de la prisée,
A. Tramblin
Testard Cuissin
Ensuivent les papiers
Premièrement l’expédition en parchemin du contrat de mariage d’entre ledit sieur Benevault et la dite deffunte Demoiselle Madeleine Lemaigre de Lisy, passé par devant de Vilaine et son confrère, notaires à Paris, le dix neuf septembre mil sept cent six, par lequel il a été stipulé communauté de biens entre eux suivant la coutume de Paris, avec dérogation à toutes coutumes contraires, ledit sieur Benevault après ladite deffunte, demoiselle son épouse, aux biens et droits qu’il luy appartenoient, en qualité et héritière pour un cinquième de ses deffunts père et mère, dont sieur son tuteur s’est obligé par les contrats de luy rendre compte, aussi après la célébration de leur mariage, desquels biens et droits, le tiers est entré en ladite communauté, et le surplus luy a été stipulé propre avec ce qui lui adviendra pendant ledit mariage par succession ou autrement. Ledit sieur Benevault a doué ladite deffunte de la somme de trois cent livres une fois payée pour en jouir suivant la coutume de Paris, le fonds duquel douaire a été stipulé propre aux enfants qui naitroient dudit mariage ; le préciput et somme du survivant a été fixé à la somme de deux cent livres de deniers comptants, ou en meubles de ladite communauté tels qu’ils voudront choisir, suivant la prisée de l’inventaire qui en seroit faite sans crüe, et la sureté a été accordée à ladite deffunte et aux enfants qui naitreroient dudit mariage d’accepter ladite communauté ou d’y renoncer, et de faire les reprises à l’ordinaire, ledit contrat inventorié………………..Un
Item une liasse de cinq pièces, la première est l’expédition d’un acte passé par devant ledit Rabouine, notaire, le onze aoust mil sept cent trente huit, contenant transport par demoiselle Suzanne Pouroy, fille majeure, audit Benevault de soixante deux livres de rente sur les Aydes et Gabelles de France, au principal au denier quarante de deux mil quatre cent quatre vingt livres, constitué par Messieurs les Prévost de Marchands et Echevins de Paris au sieur Jean Cornabé, marchand à Rersy ( ?) enseigne au Mouclt ( ?) comme tuteur de demoiselle Suzanne Jeanne Ployard, fille majeure, par constitution passé devant Bilheu et son confrère, notaires à Paris, le trois décembre mil sept cent vingt,
La deuxième sont les lettres de ratiffication obtenues sur le transport le quatorze aoust de ladite année mil sept cent vingt un, signée sur le reply par le Roy, Marchand, et scellées sans opposition,
La troisième est l’expédition du transport fait à ladite demoiselle Pouroy par devant Leverier et son confrère, notaires à Paris, le huit aoust mil sept cent trente six par le fondé de procuration de ladite demoiselle Ployard, épouse de Monsieur le lieutenant Jacques Justin Metrezac, bourgeois d’Orbec et d’Echallez, des dittes soixante deux livres de rente, au principal de deux mil quatre cent quatre vingt livres,
La quatrième sont les lettres de ratiffication obtenues par ladite demoiselle Pouroy sur ledit transport dattées du trente novembre mil sept cent trente six, signé par le Roy, de Lily, et scellées sans opposition,
Et la cinquième et dernière est la grosse en parchemin dudit contrat de constitution desdites soixante deux livres de rentes passé devant ledit Bilheu, notaire, ledit jour trois décembre mil sept cent vingt, les dittes pièces cottées et paraphées par première et dernière, et inventoriées sur les dittes première et dernière………………..Deux
Item quatre grosses de contrat de tontine de création des édits de mois de novembre mil sept cent trente trois et aoust mil sept cent trente quatre, passés les uns comme les autres devant ledit Rabouine, notaire, le premier, le neuf juillet mil sept cent trente quatre au proffit de ladite Deffunte, demoiselle Marie Madelaine LeMegre [sic] du Lisy, sa femme dudit sieur Benevault de soixante livres de rente viagère employée dans les vingt neuf trentièmes divisions de la cinquième classe de la quatrième tontine, le deuxième le vingt huit juillet de ladite année mil sept cent trente quatre au proffit dudit Benevault et de ladite deffunte demoiselle son épouse pour jouir par eux en survivance d’aux sur la tête et pendant la vie de ladite demoiselle Marie Madelaine Benevault leur fille de cinquante livres de rente viagère employée dans les treize quatorzième division de la troisième classe de ladite quatrième tontine,
Les trois et quatrième le même jour quatorze décembre mil sept cent trente cinq, au proffit du sieur Benevault de trente une livres de rente employée dans la première division de la onzième classe et l’autre de trente livres de rente, employé dans la sixième division de la dixième classe de la cinquième tontine, au proffit de ladite deffunte demoiselle Benevault, lesdits quatre contrats cottés et paraphés pour premier et dernier, et inventoriés l’un comme l’autre…………………..Trois
Item une promesse sans signature promi de passer contrat de constitution faitte pour Philippe Penel et Marie Anne Dime, son épouse deluy autorisée, au profit du sieur Benevault, datté du treize avril dernier de la somme de deux mil livres pour employer en leurs affaires de laquelle ils ont promis solidairement de luy passer contrat de constitution à sa première réquisition et luy en payer le intérests à raison du dernier vingt, dans la jouissance en commencé à compter du premier dudit mois d’avril, demeurée laditte promesse inventoriée quatre………….Quatre
Hyacinthe Rigaud : Portrait du cardinal d'Auvergne - 1732 (coll. priv.)
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Item un mémoire des copies que ledit sieur Benevault a faittes pour son Eminence Monseigneur le Cardinal d’Auvergne, arresté par saditte Eminence à la somme de trois cent quatre vingt livres, inventorié……………Cinq
Item un billet datté du trois décembre mil sept cent trente neuf, signé de feu le Prince de Pons de la somme de six cent livres qu’il a promis payer audit sieur Benevault au premier octobre prochain, pour dessus de portes qu’il a fournis, au dessous est écrit de la main dudit sieur Benevault, Reçu à compte dudit billet la somme de trois cent livres, datté du treize novembre dernier, ledit billet inventorié…………………..Six
Item un autre billet signé en fin de la Beaune, dattée du huit avril dernier de la somme de quatre cent quarante livres qu’il a promis payer audit sieur Benevault dans le courant de cette année, causé pour ouvrages de peinture qu’il luy a faittes pour son château de Caron [sic], ledit billet inventorié……………….Sept
Item un autre billet signé en fin Albergoty, daté du treize décembre mil sept cent vingt deux de la somme de mil livres qu’il a promis payer audit sieur Benevault a raison de cent livres par mois, à commencer du mois de janvier et prochain jusqu’au complet payement, au bas duquel billet est un reçu acompte de six cent livres, signé enfin de Benevault, datté du vingt huit décembre mil sept cent vingt trois, ledit billet inventorié,……………..Huit et dernier.
Déclare ledit sieur Benevault qu’il luy est du l’année entière mil sept cent trente neuf des parties des rentes sur l’hôtel de ville, dont les contrast sont cy dessus inventoriés.
Plus qu’il luy est du par la succession et héritiers de messire Gallois, suisse de nation, la somme de quatre cent livres, tant pour argent qu’il auroit reçu pour ledit sieur Benevault de Maître Lennois de Lozanne, qui luy avoit remis à cet effet, que pour ouvrages de peinture qu’il avoit fait pour luy, pour sécurité de laquelle somme la veuve dudit sieur Gallois luy a envoyé en nantissement, trois tableaux peints sur toile, représentant l’un une Madelaine, copie d’après le Guide, l’autre un jeune garçon et le troisième une jeune fille dans le goust de Rimoux, dans leurs bordures de bois sculpté et dorée,
Plus qu’il luy est encore du par le sieur Fontaine, peintre, la somme de cent quinze livres sans billet, restant de plus grandes sommes,
Plus qu’il luy est du par Messire le marquis de Soulliaque pour son portrait, la somme de cent vingt livres,
Plus déclare qu’il est du par ladite communauté de succession le terme couvrant de l’appartement que ledit sieur Benevault occupe, montant à la somme de quatre vingt dix sept livres dix sols, plus qu’il est encore du les gages de domestiques, et sa capitation de la présente année et de l’année dernière,
Ce fait après qu’il ne s’est trouvé plus rien trouvé à comprendre au présent inventaire, tout le contenu et celuy du fonds dudit sieur Moyreau, est resté en la garde et possession dudit sieur Benevault, lequel s’est chargé comme dépositaire pour le tout représenter ainsy et à qu’il appartiendra, et consigné aux protestations dudit sieur Moyreau que les déclarations des dettes soussignées ne pouvant luy nuire ny préjudicier, deffences au contraire dudit sieur Benevault, rayé en la présente vacation douze mots comme matin, du consentement desdites parties,
Benevault J. Moyreau
Mm Fournier
Brenot Rabouine
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Il était établi quai de Guesvres, à l’enseigne du Coq hardi. Voir Guillaume Glorieux, À l’enseigne de Gersaint : Edme-François Gersaint, marchand d’art sur le pont Notre-Dame, Paris, Champ-Vallon, 2002, p. 234 et suiv.
Quoi que Benevault n’ait pas eu à travailler sur le portrait que fit Rigaud en 1710 d’Armand Gaston Maximilien, cardinal et prince de Rohan, il est probable qu’il en fit des copies.
Charles Louis de Lorraine (19 novembre 1696 – Paris, 11 janvier 1755), prince de Mortagne, sire de Pons, dit « le prince de Pons ». Il avait épousé Elisabeth de Roquelaure.
Peut-être Françoise Viaux, épouse de Prosper de Morard de Galle, capitaine d’infanterie en Dauphiné.
Peut-être François Jules Du Vaucel (1672-1739), seigneur de La Norville et de Mondoville, conseiller secrétaire du roi et fermier général.
Bartholomeus Breenbergh (v. 1598-1657), dit « Bartholomé » était un peintre hollandais renommé de paysages.
Probablement un portrait de la princesse Palatine, duchesse d’Orléans, « Madame la duchesse » et de sa fille Mademoiselle de Blois, dite « Mademoiselle ».
Œuvres de Ph.pe. Wouvermens Hollandois / Gravées d’après ses meilleurs Tableaux qui sont dans les plus beaux Cabinets de Paris et ailleurs / dediées à son altesse serenissime Monseigneur le Comte de Clermont Prince du Sang / Par son tres humble et tres observant Serviteur J. Moyreau Graveur du Roy, 1737 ; collection de cent planches. Grand in-folio oblong. Voir Émile Davoust, J. Moyreau et son œuvre, Herluison, 1887.
Simon de Villaine (et. LXI, rue de la Comtesse-d’Artois, paroisse Saint Eustache au quartier des Halles), successeur de Jean Mouffle. Il revendra son office à Simon Cosson, le 4 août 1707. Source Etanot.
Jean-Louis Leverrier (et. CXVIII, rue du Roule, à la descente du pont Neuf), en exercice du 22 avril 1730 au 27 août 1757. Source Etanot.
La constitution viagère est bien référencée à cette date dans les répertoires du notaire Rabouine (et. XXI) : « Demoiselle Marie Madeleine Le Maigre du Lizy, femme du sieur Pierre Bennevault ».
Ibid. Constitution « à Pierre Bennevault et demoiselle Marie Madeleine Le Maigre de Lisy sa femme, sur la teste de Marie Madeleine Benevault, leur fille ».
Henri Oswald de La Tour d’Auvergne (1671-1747), cardinal d’Auvergne, l’un des illustres modèles de Hyacinthe Rigaud et dont nous avons retrouvé le portrait original il y a quelques années.
Il s’agit probablement de Charles Charles-François de la Baume-Montrevel, marquis de Saint-Martin, baron de Pesmes et de Caromb, seigneur de Saint-Romain et gouverneur de Dole.
Il s’agit très probablement de Eloi Fontaine, peintre de l’académie de Saint Luc, demeurant rue Saint Séverin, autre aide d’atelier de Hyacinthe Rigaud et témoin au mariage de la fille de Benevault (Jules Guiffrey, « Histoire de l’Académie de Saint Luc », Archives de l’art français, Paris, Champion, 1915, tome. 9, p. 292).
Probablement « Souillac ». Il pourrait s’agit de Jean-Jacques Joseph de Souillac (Périgueux, 20 août 1685 – Bardou, 6 octobre 1757), chevalier, seigneur de Bardou, Rouffignac, Beauregard, Montou et Montblanc, mousquetaire du roi. Il avait commencé sa carrière comme page de Louis XIV (agréé le 12 Août 1699).