Atelier d'Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux © Christie's images

Atelier d'Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux © Christie's images

Le 19 mai 2010 (lot 2), la maison Europauction mettait en vente à Drouot, sous le lot n°2, une version du célèbre portrait d’Henri-Louis de la Tour d’Auvergne (1679-1753), comte d’Evreux, peint par Hyacinthe Rigaud en 1703[1]. Cette année-là, le comte d'Evreux, quatrième fils du duc de Bouillon, Godefroy-Maurice de La Tour (1641-1721) et de Marie-Anne Mancini (1649-1714), nièce du cardinal Mazarin, débourse 400 livres pour une attitude que les livres de comptes de l’artiste disaient copiée d’après un modèle antérieur : « jusqu’aux genoux, tourné vers la droite, cuirassé, & la main droite appuyée sur le bâton de commandement. Devant lui est un casque sur un rocher & derrière on voit un combat de cavalerie ».

Exposé dès 1704 au fameux Salon de l'Académie[2], l’effigie connut un certain succès anticipé par les copies réalisées dès 1703[3]. Il semble d’ailleurs qu’Adrien Leprieur fut chargé d’habiller l’original car il reçoit, en 1704, le paiement rétrospectif des 50 livres prévues pour avoir « Habillé l’original de Mr le comte d’Evreux ». C’est également lui qui avait reçu la même somme, en 1703, pour avoir passé « huit jours au portrait de Mr le Cte d’Evreux », ; travail sans doute relatif à une copie évaluée quelques lignes plus haut à 150 livres.

Le savoir faire de cet aide sera à nouveau sollicité, en 1707, lorsqu'il s'agira d'élaborer sur le même modèle le portrait du duc de Chaulnes, alors vidame d’Amiens[4]. L’original de ce dernier se trouve toujours dans les collections du duc de Luynes, au Château de Dampierre[5].

Hyacinthe Rigaud et atelier - portrait du duc de Chaulnes - 1707 - Versailles, musée national du château © Stéphan Perreau

Hyacinthe Rigaud et atelier - portrait du duc de Chaulnes - 1707 - Versailles, musée national du château © Stéphan Perreau

Deux autres versions du portrait du duc de Chaulnes sont par ailleurs connues : une réplique au château de Versailles (Inv. 7518, MV3675, LP 6395)[6] et une franche copie, avec des variantes, récemment vendue par la maison Boscher, Studer & Fromentin le 20 novembre 2009 (lot 5)[7]. Quant aux aidesDelaunay et Fontaine, ils participèrent également à divers menus travaux sur l’effigie d’Henri-Louis de la Tour d’Auvergne…

« Né quatrième cadet de M. de Bouillon, avec une figure fort ordinaire et un esprit au-dessous, le jargon du monde et surtout celui des femmes, et tout ce qu'il avait en lui tourné à l’ambition, suppléa aux autres qualités, avec des vues et une certaine adresse »… ainsi le perfide Saint Simon décrit-il ldès 1708 notre modèle. L’obtention par le duc, dès 1703, de la charge de colonel général de la cavalerie (ce qui le motiva sans doute à solliciter Rigaud pour son portrait), avait déjà irrité le mémoraliste :

« Avec un esprit médiocre, il savait tout faire valoir, et n’était pas moins occupé de sa maison que tous ses parents. Il en tirait fort peu, il n’avait qu’un nouveau et méchant petit régiment d’infanterie, il était assidu à la guerre et à la cour. Il savait se faire aimer. On était touché de le voir si mal à son aise, si reculé, si éloigné d’une meilleure fortune. Il s’attacha au comte de Toulouse : cela plut au roi, de qui il tira quelquefois quelque argent pour lui aider à faire ses campagnes. Le comte de Toulouse prit de l’amitié pour lui, il en profita. Le roi fut bien aise d’acquérir à ce fils un ami considérable, et de lui en procurer d’autres par un coup de crédit, et cela valut au comte d’Évreux la charge de son oncle, qui par sa persévérance à la garder la conserva ainsi dans sa maison. Il la vendit six cent mille livres comme à un étranger : il était mal dans ses affaires. La somme parut monstrueuse pour un cadet qui n’avait rien, et pour un effet de vingt mille livres de rente. Le cardinal de Bouillon lui donna cent mille francs ; M. le comte de Toulouse, qui lui avait fait donner l’agrément, s’intéressa pour lui faire trouver de l’argent, et il consomma promptement son affaire. Le roi voulut qu’il servît quelque temps de brigadier de cavalerie, avant que de faire aucune fonction de colonel général ; ce temps-là même fut encore abrégé par la même protection qui lui avait valu la charge. Il n’avait que vingt-cinq ans, n’avait servi que dans l’infanterie. Le roi était piqué contre le cardinal de Bouillon, contre le comte d’Auvergne, contre la fraîche désertion de son fils, contre le chevalier de Bouillon, de propos fort impertinents qu’il avait tenus ; et malgré tant de raisons, il fit en faveur du comte de Toulouse la faveur la plus signalée au comte d’Évreux, tandis qu’aucun des quatre fils de France n’aurait pas osé lui demander la moindre grâce pour personne, et que s’ils l’avaient hasardé, outre le refus certain, celui pour qui ils se seraient intéressés aurait été perdu sans ressources. »

Le portrait original du comte d’Evreux, tout d’ostentation, est aujourd’hui conservé à la galerie des peintures anciennes (Gemälde Galerie – Alte Meister) des collections du musée de Kassel[8].

Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux - 1703 - Kassel, Gemälde Galerie © d.r.

Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux - 1703 - Kassel, Gemälde Galerie © d.r.

La toile provenait de l’ancienne collection parisienne d’Eugène Tondu qui fut dispersée les 10-15 avril 1865 à l'hôtel Drouot (lot 10). Entrée ensuite dans la collection Lelong (achat du 15 mai 1903 pour 22 500 francs), l’œuvre passa dans celle de l’architecte italien Andrea Busiri-Vici, à Rome, avant d’être saisie par le Reich allemand en 1941. C’est en 1966 que le tableau fut déposé par le gouvernement d’Allemagne de l’Est à Kassel.   

L’huile sur toile, vendue par Europauction[9], est donc très nettement une version d’atelier, probablement destinée à être offerte par le comte à quelque officine ou membre de sa famille. On l’avait déjà vue à Paris, à l’Hôtel Drouot, le 30 mars 1989 (lot 31) puis, à Monaco, lors de la dispersion, par la maison Christie’s, du mobilier et des objets d’art provenant de la Villa la Vigie (9 décembre 2000, lot 382) où elle avait fait 141000 francs. En atteignant 28000 € à l’issue de la vente de 2010, la toile dépassait, déraisonnablement selon nous, son précédent score. D’autres versions sont connues, parfois tronquées : une au château de Versailles (MV3674, inv. 7 503, LP 628)[10], une autre au Kunstmuseum de Göteborg (avec visage fortement repeint, Inv. GKM.789)[11], et, pour mémoire, une très faible copie conservée au château de Breteuil[12], affublée, comme c’est souvent le cas dans les tableaux de famille, d’une inscription erronée, en haut à gauche : CHARLES ACHILLES LE TONNELIER COMTE DE BRETEUIL / SEIGNEUR DE RUVILLE mort le 26 janvier 1708. Roman signalait également une répétition au musée de Tours (ce qui nous a été infirmé), et chez M. de Tarade à Poitiers en 1878. Enfin, quelques copies du portrait original passèrent également sur le marché de l’art.

Atelier d'Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux (version Dijon) - collection particulière © d.r.

Atelier d'Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux (version Dijon) - collection particulière © d.r.

Contrairement à ce que nous avions pensé dans un premier temps[13], il est probable que la mention rajoutée, en 1705, aux livres de comptes d’un autre portrait du comte[14] soit en réalité l’écho du paiement final du portrait commandé en 1703. Ainsi le portrait d'un officier général, conservé au Métropolitan Museum of Art de New York, et dont nous connaissons également une seconde réplique autographe[15], présente des traits extrêmement proches de ceux du comte d’Evreux,  mais un peu plus empâtés.

Hyacinthe Rigaud - portrait d'un officier général (comte d'Evreux ?) - NY © d.r.

Hyacinthe Rigaud - portrait d'un officier général (comte d'Evreux ?) - NY © d.r.

En 1739, le portrait fut gravé par Johann-Georg Friedrich (Georg Friedrich) Schmidt, en contrepartie de la toile[16] : « figure jusqu’aux genoux. Le combat du lointain est de Joseph Parrocel. Les qualités du comte d’Evreux sont celles qu’il prenoit en 1739 »[17]. Cette description de Hulst nous a donc permis de mettre un nom sur l’auteur du choc de cavalerie de l’arrière plan : Joseph Parrocel (1646-1704), fidèle collaborateur de Rigaud[18].

rtrait du comte d'Evreux - 1703 (détail) - Kassel, Gemälde Galerie © d.r.

rtrait du comte d'Evreux - 1703 (détail) - Kassel, Gemälde Galerie © d.r.

Cette superbe planche, exposée au Salon de 1742, semble être la première véritable collaboration entre le jeune graveur et Rigaud.

Georg Fridriech Schmidt d'après Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux - 1739 - Perpignan, musée Rigaud  © Stéphan Perreau

Georg Fridriech Schmidt d'après Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux - 1739 - Perpignan, musée Rigaud © Stéphan Perreau

Crayen, dans son catalogue raisonné de l’œuvre de feu George Frédéric Schmidt, nous a laissé un amusant témoignage sur la genèse de l’œuvre d’un jeune homme œuvrant encore chez Larmessin, et qui avait déjà transposé des pièces de Rigaud pour le fonds Odieuvre (Law, Parrocel, Bignon…)[19] :

« Après avoir travaillé sept mois chez cet artiste [Larmessin], il résolut de s’établir & de travailler pour son compte. Dans cette position, il ne cherchoit à gagner exactement que ce qu’il lui falloit pour subsister ; il employois le reste du tems à se perfectionner dans son art & à lier connoissance avec les meilleurs artistes. Personne cependant ne s’interessoit plus vivement en faveur de Schmidt que le célèbre peintre Hyacinthe Rigaud qui donna en cette occasion une grande preuve de sa noble façon de penser, en comblant de bontés nôtre jeune artiste. Schmidt aiguillonné par la gloire, aspiroit de parvenir au même degré où d’autres grands artistes étoient parvenus & désiroit de donner au public quelques preuves de sa capacité. Il fit part de son projet à Rigaud, & le pria de le seconder. Rigaud aussi charmé qu’étonné de l’air résolu du jeune artiste, lui demanda s’il avoit les moyens d’entreprendre un ouvrage qui exigeoit beaucoup de tems ? Schmidt lui ayant répondu qu’il avoit pris ses mesures à cet égard, le peintre lui dit, en le frappant amicalement fur l’épaule : 'Je remarque en vous ce feu que j’aime tant chez les jeunes gens. Voici un portrait dont l’original estencore vivant (c’étoit celui du Comte d’Evreux). Déployez-y toutes vos forces, vous n’aurez pas sujet de vous en repentir, vous pouvez compter sur moi'. Schmidt grava donc ce portrait, & mérita par son travail l’approbation de Rigaud, ainsi que celle du Comte d’Evreux, dont il reçut un présent considérable, accompagné d’un remerciment obligeant. »

Dans son catalogue de l’œuvre gravée d’après Rigaud déjà cité, Hulst avait pris soin de préciser que Schmidt « entreprit cet ouvrage pour son propre compte, piqué par l’excellente beauté du tableau. Il étoit fort aise d’ailleurs de faire quelque morceaux de marque sous la conduite de Rigaud qui avoit un talent tout particulier à donner aux graveurs l’intelligence et le vrai goût de leur art»

Georg Fridriech Schmidt d'après Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux - 1739 - Perpignan, musée Rigaud (détail)  © Stéphan Perreau

Georg Fridriech Schmidt d'après Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux - 1739 - Perpignan, musée Rigaud (détail) © Stéphan Perreau

Crayen insista sur le fait que dans les têtes gravées par Schmidt, « soit d’après Rigaud & d’autres maîtres, soit d'après ses propres dessins, tout vrai connoisseur admirera toujours & l’intelligence ferme du peintre, & le contour énergique du dessinateur […]. Dans une épreuve [du portrait du comte d’Evreux], que nous avons devant nous, & sur laquelle tous les accessoires font terminés, sans qu’il ait encore touché au visage, prouve que notre artiste réservoit pour la fin cette partie essentielle d’un portrait. »  

Pour compléter l’iconographie de ce portrait, on citera la belle feuille dessinée, conservée à l’Albertina de Vienne (Inv. 11921)[20], dont les dimensions (H. 37,3 ; L. 29,1 cm) sont légèrement inférieures à celles de l’estampe de Schmidt (H. 48,7 ; L. 32,4 cm). Mais son cadrage plus serré (des personnages sont manquants, à gauche et le casque, à droite, jouxtant la bordure), pourrait s'expliquer par un recoupage de la feuille.

Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux - Vienne, Graphische Samlung Albertina © Paris, documentation des peintures du Louvre

Hyacinthe Rigaud - portrait du comte d'Evreux - Vienne, Graphische Samlung Albertina © Paris, documentation des peintures du Louvre

Cette très belle pierre noire, agrémentée d’estompe et de rehauts de blanc sur papier bleu (qui ne présente pas de mise au carreau) pourrait tout aussi bien appartenir à cette série de dessins exécutés par ordre du maître (et retouchées par lui), destinés à être vendus en tant qu'œuvre d'art. Anciennement dans la collection Chabot puis dans celle du célèbre graveur et historien de l’art Pierre-Jean Mariette (1694-1774), le dessin fut vendu par Pierre-François Basan entre le 15 novembre 1775 et le 30 janvier 1776 (n°1341). Avec un autre feuille de l'artiste[21] (également à l’Albertina), l'œuvre rejoignit les collections du prince Albert Kasimir von Sachsen-Teschen (1738-1822), base du musée Autrichien.

Si son portrait par Rigaud est probablement l’un des plus réussis de l’artiste, tout de spiritualité et d’élégance militaire, le comte d’Evreux restera finalement dans l’inconscient collectif pour avoir fait bâtir, en 1718 (et grâce à la dote de sa nouvelle épouse, la fille du riche homme d’affaires Antoine Crozat), l’actuel Palais de L’Elysée. Cette demeure hautement classieuse s’il en est, verra d’illustres noms occuper ses murs : la marquise de Pompadour, Muret (beau-frère de Napoléon)… jusqu’aux présidents de la République française. Il est vrai qu’avec deux millions de livres, on pouvait s’attendre à ne voir surgir de terre qu’un palais dont la réputation ne semble jamais s’être démentie.

 


[1] Roman, 1919, p. 101 ; Perreau, 2004 (2012), p. 94, 112, 207, 219 ; Rosenberg & Mandrella, 2005, n°963, repr. p. 166 ; Delaplanche, 2006, cat. PP.15, p. 226, repr. ; Marcheteau de Quincay, 2006, p. 21, repr. fig. 25.

[2] Jules Guiffrey, Collection des livrets des anciennes expositions depuis 1673 jusqu’en 1800, Salon de 1704 – III, Paris, Liepmannssohn et Dufour, avril 1869, p 39 (Trumeau sur la cour).

[3] Roman, 1919, p. 105, 106, 112, 113, 119, 127, 135.

[4] Paiement inscrit aux livres de comptes en 1707 pour 500 livres (« Le vidame d’Amiens, Chevreuse. H. r. »). Roman, 1919, p. 131, 134 (« Habillé Mr le vidame d’Amiens en grand » par Prieur pour 58 livres) ; Perreau, 2004, (2012) p. 207, repr. fig. 186 ; Marcheteau de Quincay, 2006, p. 21.

[5] En note 88 de la savante étude de M. Marcheteau de Quincay, il est précisé qu’Ariane James-Sarazin juge l’exemplaire de Dampierre comme une réplique.

[6] Huile sur toile d’après Rigaud. H. 127 ; L. 108 cm. Achat de M. Lacroix pour Versailles en 1845. Voir Constans, n°3872 ; Constans, 1995, II, p. 761, cat. 4289.

[7] Huile sur toile d’après Rigaud. H. 92 ; L. 73 cm. Auparavant, Vente Paris, Hôtel Drouot (Pillet Commissaire – priseur), 9 avril 1865 ; Ancienne collection Gariel (puis sa descendance) ; adjugé en 2009, 8200 euros.

[8] Huile sur toile. H. 123 ; L. 95,5 cm, Kassel, Kunstsammlungen Gemälde Galerie. Inv. GK 1148 & Inv. N° L 91. Cat. Kassel [Lehmann], 1980, p. 226-227, repr. ; Cat. Kassel [Schnackenburg], 1996, I, p. 250 ; id. II, repr. 366 ; Cat. Kassel o. J., p. 52, repr.

[9] Huile sur toile, H. 118,5 ; L. 90 cm.

[10] Huile sur toile d’après Rigaud (en buste). H. 75 ; L. 60. Inscription : LOUIS DE LA TOUR D’AUVERGNE COMTE D’EVREUX. Entré à Versailles sous Louis-Philippe. Voir Constans, 1995, II, p. 760, n°4288.

[11] Huile sur toile d’après Rigaud. H. 117 ; L. 90 cm. Legs Kristina Nilsson (1922).

[12] Huile sur toile d’après Rigaud. H. 116 ; L. 89 cm.

[13] Perreau, 2004 (2012), p. 207, repr. fig. 187, note 310.

[14] Roman, 1919, p. 114 : « Mr le comte d’Evreux. Hab. répété ».

[15] Huile sur toile. H. 137,5 ; L. 105,1 cm. Inv. 59.119. Perreau, op. cit.

[16] En bas, la lettre suivante : « Louis de la Tour d’Auvergne Comte d’Evreux / Lieutenant général des armées du Roy, Colonel Général de la Cavalerie Française et Etrangère / Gouverneur de l’Isle de France, etc. / Présenté à Son Altesse Monseigneur le Comte d’Evreux, par son très humble et très obéissant serviteur Schmidt ». Sous le trait carré, respectivement à gauche et à droite : « Peint par Hyacinthe Rigaud Cher. de l’Ordre de St Michel – Gravé par Georges Frédéric Schmidt à Paris en 1739 ». Nagler, 1843, XIII, p. 184 ; LeBlanc, 1856, II, p. 334 & 1857, III, p. 454 ; Wessely, 1887, n°54 ; Portalis, 1880, p. 508 ; Portalis & Béraldi, 1880-1882, III, p. 523 (n°23).

[17] Hulst/3, p. 186.

[18] Delaplanche, 2006, cat. PP.15, p. 226, repr. 

[19] Auguste Guillaume Crayen, « Abrégé de la vie de George Frédéric Schmidt », Catalogue raisonné de l’œuvre de feu George Frédéric Schmidt, Londres, 1789, p. 15 & catalogue n°42, p. 22.

[20] H. Widauer, Die französischen Zeichnungen der Albertina. Vom Barok bis zum beginnenden Rokoko, Vienne/Cologne,/Weimar, 2004, p. 195, cat. F.979 puis A. James-Sarazin, « Nouvel éclairage sur Hyacinthe Rigaud dessinateur », L’estampille l’objet d’art, février 2011, n°465, p. 55.

[21] Widauer, F.976, p. 194, inv. 11920.

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